Le travail, contrainte ou épanouissement - travailler pour vivre ou vivre pour travailler ?

curieusement , je ne crois pas que ça soit uniquement lié au travail rémunéré proprement dit.
par exemple , qu'on soit bénévole dans le caritatif ou bien impliqué dans des activités syndicales , je m'aperçois au fil du temps qu'il ne faut rien attendre ,de qui que ce soit , de la peine qu'on se donnera a bien effectuer le job.

en tant que salarié tôt ou tard on se fait couillonner par une hiérarchie qui vous ramène sur terre , d'autant plus qu'on a cru qu'on recevait beaucoup d'eux parce qu'on était méritant.

intothewind a écrit:j'ai un oncle de 75 stakhanoviste comme jamais , président d'assoces et tout et tout , qui m'avait dit alors que je rigolais de son planning surchargé : " que veux-tu ! la vie d'un retraité n'est pas de tout repos ! "
il y a des gens qui aiment ça le boulot , être utile, productif , ça les pousse...un peu comme pour l'hormone des sportifs, ils ne vivent que pour s'activer dans une chose ou une autre.
pour les autres qui subissent leur gagne-pain , le plus dur je crois c'est la contrainte d'horaires , de hiérarchie....
sans présumer d'une nature cossarde ou pas d'un individu , sa relation aux autres influe beaucoup dans la façon dont il subira le "travail !"
j'ai remarqué que souvent les gens pas impliqués dans le schéma "famille " ,ne l'étaient pas non plus dans celui du "travail".
un temps circulait une info comme quoi , pour juste faire tourner la machine logistique sans qu'elle génère de profits , il suffirait que chacun bosse deux heures par jour.
ce truc m'avait rendu malade !

Pour ma part, c'était surtout pas impliquée dans le schéma "ménage"...
Par contre, je m'en suis voulue d'avoir autant donné dans mon boulot. Parce-que trop pris à coeur, justement.
Comme quoi, il y a de tout...

j'ai un oncle de 75 stakhanoviste comme jamais , président d'assoces et tout et tout , qui m'avait dit alors que je rigolais de son planning surchargé : " que veux-tu ! la vie d'un retraité n'est pas de tout repos ! "
il y a des gens qui aiment ça le boulot , être utile, productif , ça les pousse...un peu comme pour l'hormone des sportifs, ils ne vivent que pour s'activer dans une chose ou une autre.
pour les autres qui subissent leur gagne-pain , le plus dur je crois c'est la contrainte d'horaires , de hiérarchie....
sans présumer d'une nature cossarde ou pas d'un individu , sa relation aux autres influe beaucoup dans la façon dont il subira le "travail !"
j'ai remarqué que souvent les gens pas impliqués dans le schéma "famille " ,ne l'étaient pas non plus dans celui du "travail".
un temps circulait une info comme quoi , pour juste faire tourner la machine logistique sans qu'elle génère de profits , il suffirait que chacun bosse deux heures par jour.
ce truc m'avait rendu malade !

... je ne sais pas de quelle sortie tu parles... donc, je me baserai uniquement sur le titre donné...

Personnellement, je n'ai jamais trouvé de fleurs dans mon aspirateur... et repasser est la..non, une des... choses que je déteste le plus...

J'ai commencé à travailler dans une boîte d'informatique. Gestion. Je partais bosser en chantant.
Le pied.

J'ai continué à bosser parce-qu'il fallait être sûre que mes enfants auraient de quoi manger. Nécessité faisant loi.
Donc, boîte sûre... (ça laisse rêveur, maintenant mais bon, ils sont élevés !!!).
Pas ma tasse de thé, mais petit à petit, en grappillant ou trouvant des choses à faire en plus... pour que ce soit plus intéressant. Sinon... je m'y suis emmerdée ferme !.
Quoiqu'il en soit, j'ai toujours trouvé ça plus intéressant que de rester chez moi. Même si j'étais contente de partir en vacances !
Quand j'ai été malade et dû rester chez moi pendant 6 mois, j'ai cru que je pétais un câble.

Donc, j'ai connu les deux. Travailler pour vivre. Et vivre pour travailler.

Cela étant, de nos jours, nous n'avons guère le choix. Si seulement !